"On a toujours besoin d'une blonde sexy en bikini pour vendre une machine à laver", ce qu'en disent les lecteurs
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Sans regret aucun 20 août 2015
Par Circée
"En tant que lectrice, j’aime qu’un livre me transporte, me fasse voyager. Les ambiances intimistes des histoires qui se déroulent dans une pièce close, avec pour seul mobilier une chaise, autour de laquelle les protagonistes tournent en grognant des onomatopées, très peu pour moi. J’attends d’un auteur que, dès la première page, il me saisisse par la main, m’intime l’ordre de jeter un slip propre de rechange dans mon balluchon et m’entraine dans son univers. Et comme dans toute aventure, on s’attend à l’inattendu, on ne sait pas où on va, quoi mettre (des vêtements chauds ou froids ?), ou encore quoi prévoir comme chaussures pour arpenter ce royaume de papier. Vous l’aurez compris (ou pas), cette chronique sera l’occasion d’un nouveau D&D (défi débile). Jouons à « Si c’était une paire de chaussures ». SI C’ETAIT UNE PAIRE DE CHAUSSURES, l’ossature – de ce roman – serait des baskets (la trame). S. Ganneval a une écriture sportive, énergique, à la fois souple et musclée. Ramollis du bulbe s’abstenir. Ce récit se construit sur le modèle d’une course. Un marathon qui retrace la vengeance d’une héroïne avec le caractère aussi bien trempé que celui d’une lanceuse de poids d’Europe de l’est. Parce qu’il y en a marre des personnages féminins fragiles qui attendent qu’un bad boy à la noix de cajoux vienne résoudre leurs problèmes sur sa Harley Davidson, j’ai aimé habiter la tête de cette jeune femme qui dégomme tout sur son passage, avec la subtilité d’un bulldozer ! SI C’ETAIT UNE PAIRE DE CHAUSSURES, l’écriture – de cette histoire – serait des pantoufles (le style). On se glisse confortablement dans ce récit, on se sent comme chez soi au milieu de cette galerie de personnages, aux visages étrangement familiers. C’est que la voix de l’auteur, avec la douceur du velours sait raconter, comme on tisse une toile, la fragilité cachée de ceux et celles qui habitent le canevas qu’elle dessine. Combien de fois ai-je relu une phrase pour mieux l’apprécier ? J’ai cessé de compter. SI C’ETAIT UNE PAIRE DE CHAUSSURES la fin - de cette histoire – serait des talons aiguilles (la chute). Elégants et inconfortables, les mots de fin clôturent une histoire aussi belle que brutale qui parle de rédemption, de haine, de questionnement sur soi-même. Pas de « Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants », mais pas non plus de surenchère dans le pathos. J’ai vécu le point final comme une rupture avec un ex petit ami avec qui on a décidé de rester ami. « Nous avons vécu une belle histoire, restons en-là, sans regret ». Et des regrets, je n’en ai aucun, si ce n’est de n’avoir pas découvert plus tôt cette plume acerbe qui fera certainement parler d’elle !"
Merci madame Ganneval 20 août 2015
Par mina94
"Ce roman dont le titre et la couverture laissent imaginer un récit primesautier est loin d'être léger. C'est du lourd, dans le sens où, selon moi, cette auteure est à compter parmi les conteuses, expertes dans le maniement d'une langue parfaitement travaillée et ciselée. Le style est fluide mais pas simple, amateurs de lectures sans effort, allez voir ailleurs. Lectrices et lecteurs attirés par les beaux textes à la fois solides et profonds, restez ! Sandra nous transporte dans un univers qui fourmille d'ordures mais aussi d'âmes blessées, on ne sort pas de cette lecture sans quelques écorchures mais on en sort grandi. On ne pleure pas, on ne rit pas, on reste bouche bée. Moi, en tout cas."
Déroutant, angoissant, troublant! 16 mai 2015
Par dominique
"C'est tout ce qu'on demande à ce genre de livre et c'est réussi. On entre par la lumière, avec une jolie blonde, on en ressort après une visite assez effrayante des profondeurs tordues de l'âme humaine. Et comme c'est bien écrit, très bien écrit même, on se demande vite où l'on est, on ne respire plus très bien... un thriller psychologique, c'est fait pour ça!"
Etonnant! 28 juillet 2015
Par Cetro
"Ce livre n'est pas ce que laisse supposer sa couverture, et croyez bien que la surprise est de taille. J'ai réellement apprécié le style de l'auteure, qui évite l'écueil du politiquement correct. Amateurs de mièvreries, passez votre chemin. Nous plongeons ici progressivement avec plaisir et angoisse dans les méandres, sinueux par définition, et tordus, bien tordus par conséquent, de l'âme humaine. Que dire? Pas besoin d'épiloguer, juste rajouter que j'ai aimé, dévoré... et que j'en redemande."
"je viens de finir l'extrait et il me donne vraiment envie de lire la suite. c'est un thriller, je pense. avec des personnages torturés dont les pensées sont bien décrites dans leurs méandres corrompus par un passé glauque. à lire, merci pour l'extrait"
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